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18 éléments trouvés pour «  »

  • Rendez-vous pour mon 1er Salon du livre!

    La saga sera présentée lors de mon premier salon du livre, du 2 au 15 août à MIRAMONT DE GUYENNE. Ce sera à l'occasion de l'EXPO 4 des Estivales d'art de la Bastide !

  • Il est arrivé !

    les livres sont disponibles sur le site de l'imprimeurt : CooLlibri https://www.coollibri.com/bibliotheque-en-ligne?Search=guylaine%20bisson#all-lib ou sur simple demande guyllecture@gmail.com

  • Meilleurs voeux 2023

    Des nouvelles du volume 3 : Le point final a été posé le 23 décembre 2022 Encore un peu de patience et vous pourrez le découvrir fin février 2023 comme prévu. Pour vous faire patienter et comme c'est la période des cadeaux, voici en avant première quelques extraits du volume 3 "Je ne pouvais rester ainsi, sans rien faire, à me morfondre en spectateur inutile. J’offrais donc mes services pour soigner les malades. Je n’avais jamais été confrontée à la vue du sang, à son odeur et à celle de la mort. Bien souvent j’ai eu la nausée et bien souvent je devais sortir pour aller vomir. Je ne savais vraiment pas si j’allais tenir le coup. Je ne savais pas comment faire un pansement, je n’osais pas toucher un blessé de crainte d’augmenter sa douleur...... .....Les blessés arrivaient, toujours chaussés de leurs sabots, gémissant et se tordant de douleurs. Le spectacle était horrible et le plus difficile était notre impuissance à soulager la douleur de ces pauvres soldats. En voir certains mourir, était un soulagement pour eux, mais il faut le reconnaître, pour nous infirmières, également."........ Je sentais qu’Emile était excédé. Nous n’avions jamais abordé le sujet de la mort de son père, de la faillite ou d’une éventuelle fuite de son oncle. Il n’avait jamais de question. Je m’étais bien gardée de lui en parler. Il répondit : Je ne sais pas Monsieur s’il a vidé les caisses de la banque, pas plus que je ne savais pas que la mort de mon père pouvait être suspecte d’acte malveillant. Il est vrai que mon oncle a disparu, laissant sa famille sans nouvelle et que ma mère, ma sœur, notre servante Marie, qui se présente comme ma tante et moi avons dû fuir abandonnant tout derrière nous, pour éviter la prison à ma mère. Cette histoire a jeté le déshonneur sur sa famille, laquelle nous a reniés. Notre bonne Marie nous a évité un lynchage de la part des épargnants et nous a aidés à fuir. Nous sommes arrivés à Paris où nous logeons à quatre dans une mansarde. Cela fait trois ans que nous vivons sur les économies de Marie et je veux, étudier et gravir les échelons de la vie. Je veux rebâtir un empire comme l’avait fait mon grand-père et mon père. Je veux que le nom de Louvel ne soit plus souillé. Je veux que ma mère dont la maigreur chaque jour me fait peur, puisse manger à sa faim. Je veux qu’elle retrouve un semblant de goût à la vie, un semblant de dignité. J’ai besoin de travailler et d’étudier ! Maintenant Monsieur dit-il en se levant, je m’en retourne vous laissant la possibilité de nous dénoncer.......... Julien Salles racontera plus tard à un de ses amis, une scène qui l’avait profondément attristé : « J’allais, comme à mon habitude rendre visite à la famille et prendre des nouvelles de la jeune Euphrasie. Mais la jeune malade, que les premiers rayons de soleil de mars avaient ranimé et qui avait espéré guérir, se sentait reprise d’inquiétude et d’angoisse face à ce mal terrible dont trop souvent rien ne peut arrêter la marche fatale. Marie disait qu’elle pensait l’avoir vaincue, et voilà qu’elle reparaissait avec ses symptômes les plus effrayants. Une pensée de mort planait dans cette chambre. Je me sentais alors être un spectateur plongé au cœur du tableau photographique de Robinson "Fading Away ». « Madame Marie Lelandais, me ferez-vous l’honneur de cette danse ? me dit Emile en mimant une grande révérence. - Es-tu devenu fou ? moi ! danser, tu rigoles. - Et pourquoi donc ? n’ai-je pas l’air sérieux - Mais je n’ai jamais dansé de ma vie. - Si ! je t’ai vu danser, je me souviens. - Que racontes-tu là ? - Il y a longtemps, c’était au mariage de ta sœur Anne avec Ambroise, souviens-toi, nous y étions. - Oui mais cela remonte à des décennies et c’était avec… - C’était avec Gabriel, ton amoureux ». Il me prit la main et me tira vers lui. « On va danser doucement, ça va aller. » La veille de l’inauguration de l’hôtel de Ville, Charles Léandre vint chez moi, pour, à la fois y rencontrer Emile mais aussi pour nous remettre une carte représentant son dernier dessin : « L’allégorie du château de Flers ». « J’ai fait ce dessin qui est imprimé sur plusieurs cartes qui seront vendues pendant la grande fête qui se prépare. Je tenais à vous en offrir une. Elle représente la ville de Flers, avec la quenouille pour symbole, prenant possession du château. » (carte postale ancienne / collection privée )GB

  • Rendez-vous dédicaces /décembre 2022

    2 journées dédicaces sont prévues au mois de décembre ~~~~ MIREVAL (34) le samedi 3 décembre à l'occasion du téléthon et marché de Noël ~~~~ MIRAMONT DE GUYENNE (47) le dimanche 10 décembre à l'occasion du marché de Noël ~~~~

  • Et si on parlait un peu du poiré?

    Le poiré, ce champagne normand ! Je viens de trouver un poème sur le poiré et j'ai envie de le partager avec vous, amis lecteurs du roman "LE PRIX DE VERTU" Il a été écrit en 1898 par Félix Morin (poète et abbé de Flers) Il s'agit d'un poème plein de verve et d'humour. Ce poème qui se chantait a été écrit à la gloire du poiré de Domfront. Le poiré d'Avrilly Près d'Avrilly sur la bruyère En face des poiriers en fleurs Un gai Normand vidait son verre En chantant la blonde liqueur. Ecoutez ici, O gens d'Avrilly, Gens de Saint Brice et de Collière Ce qu'on chantait un beau matin Parmi les fleurs et la bruyère Sur les flancs du mont Margantin J'ai beaucoup voyagé sur terre, Disait l'chanteur l'air peu contrit, J'ai caressé maints petits verres, Mais je n'ai rien vu hors d'ici Rien vu d'si blond Rien bu d'si bon Rien qui vous flatte et vous allume Rien en un mot de plus taquin Que le petit poiré qui fume Sur les flancs du mont Margantin Voyez, voyez comme il pétille Dans l'orbe écumant du cristal! On dirait c'est de l'or qui brille, Il a comme un air triomphal Voyez comme ca bout Comme c'est droit en goût Mais prenez garde, ça bat l'enclume Et rien ne met en bel entrain Comme le p'tit poiré qu'on hume Sur les flancs du mont Margantin O jus des poires, boisson superbe Champagne attitré du Normand Pour toi, je laisse les imberbes Chanter la pomme au teint d'argent Et j'dis "A nous deux, O boisson des dieux!” Bien sur j'en mordrai la poussière Mais allez donc bloquer un train Et faire machine arrière Sur les flancs du mont Margantin Comme aux derniers saint's quarantaines Je sais fort bien que j'paierai ça Par d'interminables antiennes Et par de gros “mea culpa” Mais not'cher pasteur S'il a deux brins d'coeur Et du p'tit poiré dans son sable Me redira d'son air malin Allons vieux frère c'est pardonnable Sur les flancs du mont Margantin Non vraiment c'n'était pas la peine D'aller immerger mon souci Dans la Garonne ou dans la Seine Lorsque javais tout près d'ici Du poiré comme ça, Du poiré comme ça... Mais un mort même saut'rait d'sa bière Si l'on venait un beau matin L'en réchauffer d'un petit verre Sur les flancs du mont Margantin O Normands, le sang d'vos veines Est le fruit de ce cru gaulois Il créa d'si grands capitaines Que le monde en fut aux abois. (Le mont Margantin est une colline située dans le triangle St Brice, Avrilly, Ceaucé où un pélerinage se rendait chaque année en l'honneur de Saint Ernier) (bien-entendu, les Normands vont situer l'endroit...c'est tout près de Domfront) Marie LELANDAIS en parle à plusieurs reprises dans son récit. Dans le Domfrontais, on dit qu’un poirier : « il lui faut 100 ans pour pousser, 100 ans pour produire, 100 ans pour mourir » Il est le symbole ancestral du Domfrontais où l’on voit à perte de vue les poiraies (des champs entiers de poiriers) plantées autour des corps de fermes, dans des prés pâturés par les vaches laitières. Même centenaires ils ne perdent rien de leur splendeur d’antan, et plus ils vieillissent, plus ils sont productifs. Certains peuvent donner 500 kg de fruits et vivre 300 ans. Et pourtant, quelques uns ont bien failli disparaître, abattus pour créer des champs de maïs ou être transformés ou brûlés. La variété phare qui nous offre ce nectar est la poire « Plant de Blanc » qui est récoltée en septembre et octobre. Si vous en ramassez une et que vous tentez de la manger….Bon courage ! Elle est immangeable en elle-même. Elle confère pourtant au poiré ce parfait équilibre entre l’acidité et le sucre, l’amertume et l’astringence. Le poiré jeune nous chatouille la langue, il est vif, droit, floral, un peu agrume et minéral parfois. Avec l’âge, il s’affine, se complexifie, tendant vers le miel, le fruit confit… Mais alors comment fait-on le poiré ? Et bien, tout simplement comme du cidre. On récolte, on trie, on broie en septembre/octobre On récupère le jus qu’on met en tonneau (ou maintenant dans des cuves). Le marc est ensuite répandu dans les vergers ou sert à nourrir les animaux. On laisse fermenter 3 ou 4 mois et au printemps on le met en bouteille où il produira naturellement du CO2 et donc des bulles. Cette boisson est limpide, de couleur jaune pâle à jaune doré. Son effervescence caractérisée par la finesse de ses bulles n'est pas agressive. Ce n’est pas pour rien qu’il est surnommé ! « CHAMPAGNE NORMAND ». Il n’y a plus qu’à déguster, c’est pas plus compliqué que ça !! Il s’agit d’une boisson naturelle, toute opération ayant pour effet de modifier la richesse naturelle en sucre des poires, des moûts ou des poirés est interdite à tous les stades de l'élaboration comme également la pasteurisation, l’adjonction d'eau ou de colorants. Le poiré Domfront est élaboré par une trentaine de producteurs récoltants.

  • Histoire des BOUCICAUT

    Pour patienter avant la sortie du Tome 3. Une histoire ludique des Boucicaut, créateurs du premier grand magasin parisien, trouvée dans une revue "Bonne soirée " n° 1844 de 1957. Dans le Tome 3, Marie parlera des Boucicaut, ce couple extraordinaire que révolutionna le commerce et dont le management pourrait bien servir d'exemple à certains… Cliquez sur chaque diapositive pour une meilleure lecture.

  • Marie à la FNAC de BERGERAC (24)

    Retrouvez LE PRIX DE VERTU 1 & 2 à la FNAC de BERGERAC (24)

  • Marie fait son entrée à EYMET

    Librairie LA MAUVAISE HERBE - rue du Temple - 24500 EYMET https://www.facebook.com/lib.lamauvaiseherbe Vous pouvez dès maintenant trouver ces livres à la toute nouvelle librairie d'Eymet . Venez découvrir dans votre nouvelle librairie LA MAUVAISE HERBE à EYMET, la saga historique de Guylaine BISSON intitulée "Le PRIX DE VERTU / Marie Lelandais" 1789-1902 Ce roman en auto-édition mérite votre attention. Vous ne vous lasserez pas de vivre, tout au long de ces pages, avec Marie Lelandais tout en traversant plusieurs périodes historiquement riches. Le roman débute par l'histoire des grands parents de Marie qui se sont affrontés durant la Révolution... Marie Lelandais est née en 1821 dans le Passais, une contrée du pays Bas-Normand. Cette histoire vécue et romancée, dans laquelle certains personnages ont réellement côtoyé Marie et d'autres sont fictifs, vous ramènera quelques siècles en arrière... C'est un roman où se mêlent histoire d'une vie, histoire locale et histoire de France. Ce livre n'est pas un livre d'histoire mais un roman historique, une autre façon d'aborder l'histoire ressentie par les personnes de l'époque. Ces livres sont désormais disponibles dans la superbe nouvelle librairie d'Eymet. Ils sont également présentés à l'exposition d'arts LES ESTIVALES D'ART DE LA BASTIDE, à Miramont de Guyenne jusqu'au 31 août. leprixdevertu.com https://www.facebook.com/lib.lamauvaiseherbe

  • Quand il est question de Marie dans la presse !

    article du Républicain - 23 juin 2022

  • Domfront

    de 1840 à 1861, soit tout au long du volume 2, Marie Lelandais a foulé les pavés de cette jolie cité médiévale de l'Orne Domfront, une ville moyenâgeuse à découvrir en photos : . Domfront, Damfrontis puis Domus Fronto au 11e siècle. Ancienne cité médiévale de Normandie. Ancienne sous-préfecture. Capitale du Domfrontais, région bocagère, située au sud-ouest du département de l’Orne, réputée pour son poiré et son Calvados AOC élaboré à base d’alcool de pomme et de poire. Place forte de la Normandie ducale, la ville de Domfront offre aux visiteurs un ensemble médiéval exceptionnel. Elle est construite sur un promontoire de grès armoricain qui domine tout le bocage. Propriété, depuis le XIe siècle, des rois Anglo-Normands, séjour privilégié des souverains Plantagenêt : Henri II, Aliénor d'Aquitaine, Richard Coeur de Lion, Domfront reste aujourd'hui avec ses rues étroites, ses tours d'enceinte, ses remparts, ses cours intérieures, ses maisons à colombages serrées les unes contre les autres, un exemple unique d'architecture du Moyen Age.

  • Un peu de pub !

    Vous pouvez suivre Marie Lelandais "Le Prix de vertu" sur FB : https://www.facebook.com/leprixdevertu ou sur Instagram : https://www.instagram.com/guylainelpv Les 2 premiers volumes sont disponibles à l'achat à la Maison de la presse de Miramont de Guyenne - 47 - ou au rayon presse Intermarché - Saint Pardoux Isaac - 47 - il est toujours possible de passer commande via le site https://www.leprixdevertu.com/boutique sur le site de la BNF

  • Le volume 2 est arrivé et vous attend!

    Marie LELANDAIS Le prix de vertu Domfront 1840/1861 https://www.leprixdevertu.com/boutique Comme je l'ai déjà expliqué à un grand nombre d'entre vous, je n'ai pas d'éditeur. Mon roman est publié en auto-édition. Ce qui veut dire que je dois tout faire : la relecture, la mise en page, l'indexation, l'ISBN, le dépôt légal à la BNF, la page de couverture que j'ai travaillée avec photoshop. Le petit garçon est Côme (mon petit-fils), la femme n'est pas Marie, mais une personne de ma famille à la même période. Je suis pour l'instant frustrée de ne pas avoir retrouvé le portrait de Maire, je cherche… je cherche. Mon roman n'est pour l'instant pas disponible en librairie. La promotion ne se fait que par internet, via ce site ou les réseaux sociaux et également par le bouche à oreille… Là je compte sur vous pour m'aider dans ce domaine ! J'assure également la vente et l'envoi des livres. Vous trouverez tous les renseignements dans l'onglet "Boutique" (tarif, frais d'envoi, mode de règlement) Pour info : le volume 1 est toujours disponible et le volume 3 est en cours d'écriture pour une sortie avant la fin de l'année! https://www.leprixdevertu.com/boutique Un petit tour dans la bibliothèque virtuelle de l'imprimerie Coollibri : https://www.coollibri.com/bibliotheque-en-ligne/guylaine-bisson/marie-lelandais-le-prix-de-vertu-domfront-18401861_297921

  • Quand l’histoire de Marie devient un outil pédagogique !

    Extrait du livre ayant servi de base au cours d’histoire d’une classe de 5éme

  • Marie LEDEMé, épouse de Julien LELANDAIS - mère de Marie

    Cette personne pourrait ressembler à Marie Ledemé, la mère de Marie Marie est née le 5 juin 1781 à Passais Elle est décédée le 30 janvier 1858 à Saint Front

  • Julien LELANDAIS - père de Marie

    On pourrait imaginer Julien Lelandais fils de Jean, lorsque celui-ci fut bastonné par les républicains.... Saint Fraimbault (Normandie) baptême de Julien Lelandais - normand Julien Lelandais, fils légitime de Jean laboureur absent et d'Anne meslay épousés en cette église, né à Midy au village de la Lorinière , canton de Normandie, a été par my, prieur curé soussigné, baptisé le vingt juillet mil sept cent quatre vingt six. On été parrain Julien Pouchard, oncle maternel de l'enfant et Marie Magdeleine Turpin, aussi tante maternelle acte de mariage de Juien LELANDAIS et Marie LEDEMé le 4 mai 1809 à Passais acte de décés de Juien LELANDAIS le 12 avril 1824 à Saint Fraimbault

  • La chouannerie dans le bocage normand

    J'ai abordé dans ce livre le sujet de la chouannerie de façon impartiale. Trop de récits ont été écrits en donnant, à mon avis, trop d'importance politique à ce mouvement. Il a été dit que les Chouans étaient les défenseurs de la religion, d'autres y ont vu un mouvement des partisans de la Monarchie. Il semble difficile de porter un jugement. Ce qui est certain, c'est qu'ils exprimaient un ras-le-bol de leurs situations précaires. Certains d'entre eux ont vu d'un bon œil arriver la Révolution et la fin de la Monarchie, mais ils ont vite déchanté. Les privations de leurs libertés religieuses, la conscription qui envoyait leurs fils à la guerre, les réquisitions abusives, une dîme remplacée par d'autres impôts encore plus lourds ont fait de ces paysans des insurgés. Certes les nobles étaient jetés en prison, mais ils se retrouvèrent sous le jougs de bourgeois enrichis par les biens nationaux ; ce qui n'était guère mieux. Désabusés, désorientés, et se sachant incompétents dans le domaine de la guerre, certains d'entre eux sont allés demander aux nobles, farouches partisans de la Monarchie et bien souvent anciens officiers, de prendre la tête de leur mouvement. Difficile pour moi de parler chouannerie sans évoquer la grande exposition que j'ai eu le plaisir de coorganiser lorsque je travaillais à Tinchebray. Quelques photos des "tableaux vivants" de cette grande exposition et mes enfants en tenue d'époque.

  • Marie LELANDAIS

    Marie lelandais est née en 1821 elle est décédée en 1902

  • Le Passais, mythologie et histoire

    Le Passais est une entité profondément marquée par ses caractères historique et géographique. En effet, son étymologie même, (Passus = le passage), inscrit dans la mémoire des hommes les atouts d'une région de collines et de landes sauvages, de solitudes boisées où fleurirent depuis la plus haute antiquité les mythologies et les hagiographies.

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