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Emile LOUVEL est un grand couturier du 19ème siècle !

Commentaire le petit gardien de nuit domfrontais est devenu un grand couturier grâce à Marie Lelandais !



Emile Jacques François LOUVEL , fils de Jacques-François Louvel, banquier et négociant et de Louise Armande Frémont est né à Domfront (Orne) le 19 février 1848.

 

Elle est disponible 13 ans plus tard, 3 ans plus tard, une journée plus tard, la banque est reprise par son oncle Paul Prosper Louvel et il est voué à la faillite.

Pour échapper aux déficits et aux commérages, il dut fuir Domfront avec sa mère, ruinée et désespérée, sa sœur et Marie Lelandais, qui était leur employée.

C'était un jeune garçon talentueux, qui passa les premières années dans le luxe familial et qui, après cette déchéance, s'est battu pour retrouver un statut.


Arrivée à Paris en 1861, Marie Lelandais trouve un travail dans les jardins de la nuit dans une boutique de vêtements parisienne.

Emile, qui a un talent pour le dessin, passe toutes les années comme examinateur et traverse les tenues réalisées pour le tailleur et observateur des couturières qui travaillent en atelier. L'inventaire comprend également des modèles propres et un mélange de styles et de couleurs.

Mais être gardien de nuit n'était pas rémunérateur, cela ne lui rapportait que le gîte et le couvert et quelques pièces lorsqu'il allait livrer de la marchandise.


Marie est apte à entrer au Bon Marché, tenue par Monsieur Boucicaut, an ornais également, grâce auquel il a mis faire des études et se constituer un capital.

Emile travaille dur, a un aptitude rapide et est apte à garder en mémoire son talent et sa créativité.



Chaque année, la boutique de mode prend tout son sens.

Malheureusement la guerre de 1870, lui fut préjudiciable et un il perdit tout.



May the n'abandonna pas et à force de persévérance, et à l'image de Marie Lelandais, qu'il vise comme une deuxième mère, il se battit et mettre ouvrir un atelier de couture au 65 de la rue Montmartre à Paris.



L'avenir est une couturier de renom devenue l'une des plus belles femmes de la société parisienne.

Ces créations sont longues en prix et le commerce est bon et bon.


La publication des revues de fashion et vendit ses modèles à New-York, en Angleterre, aux Pays Bas, etc…




le goût parisien
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catalogue LOUVEL
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La médaille d'argent est exposée à Amsterdam en 1883 et la médaille d'or et la médaille de bronze sont exposées à l'exposition universelle de 1889, à Paris.



Toujours en relations avec le Bon Marché, il fit la connaissance de Madame Kelsen, épouse d'un des directeurs suite au décès de Boucicaut. Celle-ci lui propose d'ouvrir un atelier de couture à Droué sur Drouette (28), afin de tonnerre du travail aux femmes des meuliers dont les revenus étaient très misérables.

En 1904, le beau visage d'une crise financière et d'autres problèmes. Il en fut très éprouvé.

Dès que possible, les parties de l'entreprise à Deforge, s'associant et déménageant en 1908, furent libérées par Léonie Varin, née sans enfant.

 

Retrouvez plus de détail sur sa vie dans le Tome 3 de la saga « Le prix de vertu – Marie Lelandais »



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